Bien communiquer à l’écrit, c’est essentiel !

13 octobre 2021 | Communication écrite, Notre chère langue française | 0 commentaires

Vous hésitez encore à confier votre communication écrite et vos publications quotidiennes sur les réseaux sociaux à une rédactrice ou à un rédacteur pro ? Peut-être vous vous dites qu’il vaut mieux écrire soi-même, quitte à y consacrer du temps, de l’énergie et parfois, à y laisser des coquilles (ce n’est pas si grave, me direz-vous…). Oui mais… bien communiquer à l’écrit est un vrai travail qui ne s’improvise pas. Car non seulement nous écrivons de plus en plus, mais nous avons de moins en moins de temps pour relire, vérifier, corriger… Or une bonne orthographe reste incontournable encore aujourd’hui !

On écrit (et on lit) de plus en plus… eh oui !

Une idée reçue tenace proclame régulièrement que nous lisons moins qu’avant (mais quel « avant » ?), que nous écrivons moins et moins bien (ah les articles marronniers sur le niveau d’orthographe en baisse !)… On nous en rebat régulièrement les oreilles dans les médias.

Dans notre monde largement dominé par le numérique, nous lisons et nous écrivons au contraire de plus en plus, tous les jours, mais de manière différente bien sûr que nos parents ou grands-parents (qui pour certains n’étaient pas allés à l’école et n’avaient pas besoin de l’écrit dans leur métier). Ce sont les outils et les supports qui ont évolué au fil des décennies. Nous lisons beaucoup, mais de manière rapide et sur écrans bien souvent. Nous lisons moins de manière concentrée sur 1h ou 2h d’affilée (sauf en vacances peut-être, quand enfin nous pouvons nous plonger dans le dernier Guillaume Musso). Nous cherchons des informations rapides, que ce soit pour notre travail ou pour notre vie personnelle, cela va d’une info financière à la recette de cuisine du dimanche. Et il en va de même pour les écrits. Bien sûr nous n’écrivons pas de longs textes tous les jours. En revanche, nous envoyons des mails quotidiennement, nous pouvons avoir besoin de rédiger des devis, des rapports, des compte-rendus ou des synthèses dans le cadre de notre travail. Nous écrivons aussi quand nous envoyons des SMS ou que nous publions sur les réseaux sociaux… Toutes ces nouvelles pratiques font évoluer notre rapport à l’écrit et nos manières d’écrire.

L’orthographe, un marqueur social encore fort

Pendant la crise sanitaire, de nombreux commerçants se sont mis à la vente en ligne, notamment en publiant des photos et des textes sur les réseaux sociaux. Mais ils n’étaient pas forcément à l’aise avec les mots ni avec l’orthographe ! Des entreprises se sont ainsi rendu compte que rédiger correctement et efficacement était un véritable métier et que laisser des fautes d’orthographe dans des écrits publiés publiquement pouvait être néfaste à leur image de marque.

De même que, lorsque vous envoyez une lettre de motivation à un employeur, vous savez que les fautes d’orthographe pourront être rédhibitoires pour votre embauche. Car cela reste un marqueur fort de discrimination sociale en France. On considère encore, parfois à tort, que le niveau d’orthographe reflète les compétences, voire le sérieux, du candidat ou de la candidate. Or, ce n’est pas toujours le cas. Mais cette idée reste bien installée dans notre pays et il est difficile d’être pris au sérieux à l’écrit lorsque l’on fait des fautes. Notons d’ailleurs que l’on parle encore de « fautes d’orthographe », là où devrait plutôt parler « d’erreur ». En effet, le mot « faute » reste connoté négativement et demeure fortement marqué par la religion catholique (on expie ses fautes, ses péchés). Cela montre aussi notre attachement à notre langue et à ses règles très normatives, autant décriées que farouchement défendues ! Voyez les boucliers se levant derechef dès qu’on ose toucher à un cheveu de notre chère langue française…

Impensable donc de laisser des coquilles dans un article de blog ou d’écrire votre présentation sur votre site sans une relecture sérieuse… Et c’est là que faire appel à un rédacteur ou à une rédactrice peut se révéler un bon investissement pour bâtir une communication efficace et développer votre clientèle. C’est aussi un gain de temps et un allègement de votre charge mentale professionnelle non négligeables. L’occasion peut-être aussi pour vous d’adopter un mode de travail plus lent, un tempo plus « slow »… Voilà un thème qui me parle aussi, le « slow working »… Le thème d’un prochain article !

Envie de me confier votre communication et vos publications ? N’hésitez plus et contactez-moi !

 

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